formations, réunions d’élèves médiateur.trice.s

Collège Stendhal de Fosses, octobre 2020
Le projet de médiation par les pairs fonctionne déjà avec satisfaction depuis plusieurs années dans cet établissement scolaire du Val d'Oise.
Mais avec le confinement imposé par le développement de l’épidémie de la covid-19, le dispositif a été mis en mode pause.
A la demande des jeunes, des actions ont pu être entreprises malgré les contraintes innombrables de la reprise.
Voici une communication de l’établissent qui souligne la persévérance et la bienveillance des formatrices et accompagnatrices de jeunes.

Stage de formation dans le bassin du Vexin-Thelle (Oise) en octobre 2020
L'association a participé à un projet « santé et citoyenneté » initié par notre partenaire « Bien Vivre Ensemble » actif sur le territoire de la région Hauts de France.
Ce projet intitulé, « mon corps, cette machine extra-ordinaire » s’est décliné sous forme d’un stage « découverte des arts », fin octobre.
50 jeunes de 6 à 14 ans ont répondu à l’appel, ainsi que 18 adultes encadrants.
8 ateliers différents leur étaient proposés pour explorer les possibilités du corps, expérimenter ses ressources et lui donner forme en faisant appel à la créativité de chacun.
Nathalie MAILLARD et Anne LERAILLE, formatrices Médiacteurs, ont animé l’atelier « débats et jeux coopératifs ».
L’art de la communication verbale et non verbale a été au centre des échanges, des questionnements et des débats, les ateliers théâtre permettant d’expérimenter sur scène ces réflexions.
Le corps et ses besoins ; le corps et ses émotions ; l’image de notre corps et celui des autres, pareils et différents : ces échanges prenaient forme dans les ateliers des artistes . La pastel, l’encre, la terre, le platre et le zinc étaient autant de matières mises à leur disposition pour exprimer les émotions, les liens ; créer les formes, le mouvement, façonner la structure à la fois souple et solide des corps.
Une grande question : quelle différence entre « identiques, égaux et équitables » ? animait grands et petits qui s’exerçaient à se mettre « à la place de l’autre » pour s’ouvrir de nouvelles portes de compréhension et de tolérance.
Le chant donnait corps et cœur à ce projet sur un répertoire autour de la machine et des relations : « Toutes les machines ont un cœur » de Maelle a été au centre des réflexions des jeunes, car au cœur des machines humaines, il y a un cœur, qui bat, qui bat, qui bat…
Et de se rappeler que ce cœur est fragile et qu’il convient, ensemble et chacun d’en prendre soin.
Cette semaine de stage, riche en relations nouvelles, en découvertes, en ouverture et en gratitude a été rythmée par des temps communs (accueil, yoga, jeux coopératifs, bilan de fin de journée) et des ateliers de grandes qualités.
Elle s’est conclue par une exposition des œuvres époustouflantes réalisées par les groupes, et un spectacle théâtre-chants restituant toutes les récoltes de la semaine.
Cette complémentarité d’interventions sur un sujet commun a été d’une grande richesse, autant pour les intervenants que pour les participants.
Conclusion : on gagne à œuvrer ensemble dans la diversité, car « qui ne se ressemble pas s’assemble » dans le grand puzzle des relations humaines.
Une initiative saluée dans la presse
L'association a participé à un projet « santé et citoyenneté » initié par notre partenaire « Bien Vivre Ensemble » actif sur le territoire de la région Hauts de France.
Ce projet intitulé, « mon corps, cette machine extra-ordinaire » s’est décliné sous forme d’un stage « découverte des arts », fin octobre.
50 jeunes de 6 à 14 ans ont répondu à l’appel, ainsi que 18 adultes encadrants.
8 ateliers différents leur étaient proposés pour explorer les possibilités du corps, expérimenter ses ressources et lui donner forme en faisant appel à la créativité de chacun.
Nathalie MAILLARD et Anne LERAILLE, formatrices Médiacteurs, ont animé l’atelier « débats et jeux coopératifs ».
L’art de la communication verbale et non verbale a été au centre des échanges, des questionnements et des débats, les ateliers théâtre permettant d’expérimenter sur scène ces réflexions.
Le corps et ses besoins ; le corps et ses émotions ; l’image de notre corps et celui des autres, pareils et différents : ces échanges prenaient forme dans les ateliers des artistes . La pastel, l’encre, la terre, le platre et le zinc étaient autant de matières mises à leur disposition pour exprimer les émotions, les liens ; créer les formes, le mouvement, façonner la structure à la fois souple et solide des corps.
Une grande question : quelle différence entre « identiques, égaux et équitables » ? animait grands et petits qui s’exerçaient à se mettre « à la place de l’autre » pour s’ouvrir de nouvelles portes de compréhension et de tolérance.
Le chant donnait corps et cœur à ce projet sur un répertoire autour de la machine et des relations : « Toutes les machines ont un cœur » de Maelle a été au centre des réflexions des jeunes, car au cœur des machines humaines, il y a un cœur, qui bat, qui bat, qui bat…
Et de se rappeler que ce cœur est fragile et qu’il convient, ensemble et chacun d’en prendre soin.
Cette semaine de stage, riche en relations nouvelles, en découvertes, en ouverture et en gratitude a été rythmée par des temps communs (accueil, yoga, jeux coopératifs, bilan de fin de journée) et des ateliers de grandes qualités.
Elle s’est conclue par une exposition des œuvres époustouflantes réalisées par les groupes, et un spectacle théâtre-chants restituant toutes les récoltes de la semaine.
Cette complémentarité d’interventions sur un sujet commun a été d’une grande richesse, autant pour les intervenants que pour les participants.
Conclusion : on gagne à œuvrer ensemble dans la diversité, car « qui ne se ressemble pas s’assemble » dans le grand puzzle des relations humaines.
Une initiative saluée dans la presse
Collège Roger Martin du Gard Epinay sur Seine ( 93), Février 2019
Remise des diplômes à une nouvelle promotion de 11 élèves médiateurs et médiatrices.
Dans ce collège situé en REP+, la médiation par les pairs a débuté en 2011 à la demande d'un père d'élève. Mais le départ de plusieurs enseignants qui avaient été formés a mis un frein au projet.
Une nouvelle équipe, autour du CPE Théo Teinrero, a repris le flambeau et après une formation en 2015 a relancé le dispositif. L’équipe a su convaincre de nombreux collégiens mais aussi leurs parents qui sont fiers, à chaque rentrée scolaire, de venir assister à la remise des diplômes de médiateur.trice à leurs enfants.
Ils sont bien conscients que leur engagement les responsabilise mais est aussi leur permettra de faire valoir cette action lors du brevet des collèges, dans le cadre du parcours citoyen. Un « plus » pour leur avenir individuel et professionnel.